Présentation de Noyal

Quelques repères

Bénéficiant d’un relief extrêmement vallonné, le village s’est naturellement construit au nord sur le niveau le plus élevé qui lui confère un caractère de promontoir, accentué encore par l’église St-Pierre et son remarquable clocher. Construit au XIXe siècle par Arthur Régnault, l’édifice emprunte au XVe siècle son style gothique flamboyant.

De quelques centaines d’âmes dans les années 1950, le bourg s’est considérablement développé à partir des années 1970 grâce à l’urbanisation de nouveaux secteurs.

Une large gamme de services est proposée à la population : collège, écoles, services périscolaires, crèche, complexe sportif et salles des sports, centre culturel avec médiathèque, école de musique, auditorium, marché hebdomadaire, nombreux commerces, artisans et entreprises.

Quelques chiffres

Population (chiffres INSEE au xx) : en cours de mise à jour.
Superficie : 3 109 km
Voies communales : 60 km
Voies rurales : 25 km
Ville jumelée allemande : Haigerloch, à 60 km au sud de Stuttgart.

Plus de 80 manifestations sportives et culturelles animent chaque année la vie de la cité grâce à un tissu associatif très actif et à la participation de nombreux Noyalais.
Traversée d’Est en Ouest par l’axe Paris-Rennes, Noyal-sur-Vilaine a su très tôt saisir cette opportunité pour favoriser l’accueil des entreprises et développer l’emploi. De nombreuses sociétés, notamment dans les domaines du transport et de l’agro-alimentaire, sont implantées en bordure de cette voie.

De par l’importance de sa superficie et la volonté de ses élus, Noyal-sur-Vilaine a su conserver néanmoins son caractère rural. De grandes parcelles, reflets d’une agriculture dynamique, sont ponctuées ici et là de bosquets et d’anciens manoirs, témoins de l’histoire aux noms évocateurs : «Tesnières» (lieu où se trouvent les terriers des blaireaux), «Croyal», «Beauchène», «Le Grand Benazé», «Le Hil-Barras», «Le Val Froment» (grand manoir du XIXe siècle construit en bordure de Vilaine) et enfin, au-delà du Bois de Gervis, site naturel de 115 ha aux qualités floristiques et faunistiques remarquables, le château du «Bois-Orcan» (demeure seigneuriale privée du XVe siècle). Cet ensemble exceptionnel a été remarquablement restauré et abrite aujourd’hui «L’Athanor» (musée extérieur et intérieur où sont exposées les œuvres d’Etienne-Martin, sculpteur français de renommée internationale).

Portée par l’essor économique d’une région et animée d’une volonté de développement, Noyal-sur-Vilaine s’est toujours efforcée de conjuguer activité industrielle et maintien du tissu rural, modernité et respect du passé. La ville compte aujourd’hui 4500 salariés ce qui en fait un pôle d’emploi majeur sur le territoire.